Description
Voici un superbe plateau ancien tout en bois dans un parfait état.
Il est muni de jolies poignées en laiton et pourvu d’une plaque de cuivre gravée de motifs de feuilles et de grappe de raisin.Le pourtour du plateau est lui aussi délicatement gravé de motifs floraux.
De grande taille, il peut servir de socle pour disposer son autel, et le rendre de cette manière portatif pour le déplacer facilement d’un lieu à un autre.
Ou bien il peut servir directement pour réaliser des rituels. D’une part sa surface s’entretient très facilement, mais son plateau en cuivre ne fera qu’amplifier votre travail !
Dimension : 54 cm de long par 34 cm de large
En savoir plus sur le cuivre
L’histoire, la légende et les traditions au sujet du cuivre sont anciennes. Son utilisation remonte à plus de 10 000 ans. On dit en fait qu’il s’agit du premier métal de l’humanité, apparu dans la métallurgie égyptienne et sumérienne. Les Égyptiens aient été parmi les premières cultures humaines à utiliser le cuivre. L’histoire et les textes anciens indiquent que le cuivre a longtemps été lié au Divin, attribué à la Reine du Ciel, ainsi qu’à toutes les déesses associées à la planète Vénus. Utilisé dans les rituels pour invoquer la déesse, le cuivre a une place permanente sur l’autel et presque tous les rituels et sorts de toute nature.
Comme le cuivre est un conducteur de chaleur et d’électricité, il est également considéré comme un conducteur de l’énergie spirituelle, la faisant aller et venir entre les personnes, les auras, les cristaux et le monde des esprits. Il est considéré comme un amplificateur des pensées.
Le cuivre fournit donc une connexion harmonique entre les corps physique et astral et aligne les corps subtils. Il a été utilisé avec succès pour amplifier et transmettre la pensée. Il exerce une énergie positive dans la récupération de biens ou de possessions perdus ou tombés entre de mauvaises mains. Il attire la chance et favorise la prospérité.
Il est réputé pour combattre la léthargie, la passivité, l’agitation, l’excitabilité et la non-acceptation de soi. Il est, dit Hildegarde, “comme une étincelle d’or qui s’échappe d’un fourneau”. Il stimule l’initiative, l’optimisme, la diplomatie et l’indépendance.
